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Désigne ce qui n'a pas de réalité physique perceptible, ce qui n'existe que sous  d'idée
Se dit d’une œuvre qui ne représente rien du réel perceptible par les sens de la vue et du toucher ou ne fait pas référence à une réalité extérieure à l'œuvre. Une œuvre abstraite, ou non-figurative, ne représente rien que l'on puisse reconnaître. L’abstraction apparaît au début du XXe siècle, avec l' contemporain. L'abstraction géométrique qui utilise des formes d'apparence géométrique (Albers, Barré) se distingue de l'abstraction lyrique qui privilégie le geste spontané et la tache (Hartung,Mathieu,Pollock).

 (Du nom du jardin "Akademos" où le philosophe grec Platon enseignait) Avec une majuscule, il désigne une société constituée par des gens représentant un domaine d'expression, de recherche ou garants de certaines valeurs.
Avec une minuscule, l' désigne le lieu où s'exerce un  mais également toutes personnes dessinées, peintes ou sculptées d'après un  vivant et nu. ("Nu " ou plus simplement "").

Conventionnel, qui correspond à des normes établies et stables. (Contraire : avant-gardiste, original)

Désigne le respect des règles énoncées par l' ;
Entre le XVIIe siècle et le XIXe siècle, les arts n'échappent pas aux traditions rigoureuses prônées par l'c'est le classicisme. Par extension, le terme désigne un manque d'originalité et de personnalité.

Sans . En photographie, on dit "en noir et blanc"

Entassement ou regroupement d'objets de même nature ou différents. Le mot est le plus souvent associé à certaines œuvres des nouveaux réalistes (Arman).
 

Terme apparu dans le courant post-dadaïste à partir des années 1960, utilisé pour nommer certaines manifestations où sont pris en compte le geste, l'l'implication de l’artiste. Par leur caractère souvent provocant, les actions visent à faire prendre conscience au spectateur de questions culturelles, sexuelles ou plus généralement politiques. Dans les années 1950, l'prenait la  de  ; elle prend actuellement plutôt celle d'évent, de performance.

 - Peinture gestuelle

 Ce terme, proposé en 1951 par le critique américain Harold Rosenberg, désigne une attitude  qui privilégie l'acte physique de peindre, souvent la rapidité d’exécution, l'engagement physique du peintre, la gestualité, éliminant toute suggestion figurative. "Ce qui devait passer sur la toile n’était pas une , mais un fait, une ."

 Liquide gras et incolore dont la propriété est de lier entre elles les particules de  et de les faire adhérer à la . On en distingue trois sortes :
• Les agglutinants aqueux (ou colles de peau) 
• Les émulsions (ou mélange d'œufs, d' siccative ou de résine et d'eau) 
• Les huiles siccatives proprement dites ( de pavot,  d'œillette). 

Il est fréquent qu'un tableau soit peint avec des agglutinants différents selon les couches

 Procédé qui conduit à une répartition uniforme des éléments picturaux sur la surface totale du tableau qui semble se prolonger au-delà des bords, éliminant ainsi le problème du . (Terme apparu avec l' et Pollock aspergeant la toile posée à plat sur le sol)

 Personnification d'une idée abstraite (la liberté, l'amour..) sous les traits d'un personnage ou d'un animal auquel sont associés des éléments symboliques. Exemple : La mort est souvent représentée sous  d'un personnage squelettique, tenant à la main une faux avec laquelle il est censé faucher les vies.

 Outil de bois ou fine lamelle de corne ou d'ivoire qu'utilisaient les peintres lorsqu'ils broyaient les couleurs pour les amasser sur la palette. 

 C'est une  volontairement déformée de manière à ce qu'elle ne soit comprise que lorsqu’on la regarde sous un angle particulier ou à l'aide d'un miroir. L’ la plus célèbre est certainement celle qui apparaît dans le tableau d'Hans Holbein (1497-1543), Les Ambassadeurs, 1533 (National Gallery, Londres).

 Direction du regard (ou de la caméra) par rapport au sujet.
1.  horizontal : on se trouve au même niveau que le sujet regardé.
2. Plongée: le sujet est plus bas que le niveau des yeux, on regarde vers le bas.
3. : le sujet placé plus haut que le niveau des yeux, on regarde vers le haut.

 (du grec antrôpos = humain)

1. Technique de mensuration du  humain.
2. Terme choisi par le critique Pierre Restany pour désigner les empreintes de  dans l’œuvre d’Yves Klein.

Se dit d'une  qui rappelle celle d'un être humain.

Désigne une surface de  uniforme, sans nuance.

La couche d', solution très diluée de , est appliquée sur le  de toile ou de bois afin de réduire son pouvoir absorbant et sa porosité, afin d'augmenter l'adhérence des enduits de  et celle de la peinture. 
Cet  est particulièrement recommandé, car il isole les fibres de la toile de l'160;néfaste de l'


Procédé qui consiste à utiliser une œuvre existante ou un objet, voire à les citer dans une création. "Le geste d’ est l’agent absolu de la métamorphose, le catalyseur de la révolution du regard" (Pierre Restany).

 Baguette en bois léger se terminant par une petite boule revêtue de peau ou d'un chiffon, sur laquelle les peintres appuient la main qui tient le pinceau.

Peinture à la  dans laquelle les couleurs, solubles dans l'eau additionnée de  ou d'une substance chimique en tenant lieu, sont appliquées sur un  de papier ou de carton. A la différence des couleurs de la , qui sont opaques, celles de l' sont transparentes. Etendues à l'aide d'un gros pinceau à poils souples, les couleurs très délayées constituent des fonds clairs, laissant transparaître le blanc du papier, qui joue ainsi le rôle d'une véritable 

Procédé de  apparenté à l' et destiné à obtenir des effets de  en , comparable à ceux du lavis pour le 

 Désigne une  sinueuse formée de courbes, mais aussi un motif ornemental végétal ou géométrique, plus ou moins stylisé, et représenté de manière symétrique.
Ornements composés de figures géométriques (réseaux de losanges, champs d'étoiles), de motifs végétaux généralement stylisés (guirlandes de fleurs, branches, palmettes, volutes, entrelacs, rinceaux) et de divers autres motifs (rubans entrelacés, draperies) à l'exclusion de la  humaine et de la représentation animale. 

 (du latin radix, radicis = racine)

 Action de détacher avec un effort plus ou moins grand une partie souvent superficielle accrochée sur une autre en la déchirant. 
Mot utilisé pour décrire la technique des "affichistes" (Dufrêne, Hains, Villeglé)

 utilisé parfois pour des tableaux de petite taille, en général au XVII° siècle.

 Plan qui se trouve le plus en arrière dans un paysage réel ou dans une reproduction. C'est aussi ce qui apparaît derrière le sujet principal.

1. Moyen d'obtenir un résultat par l' de ses aptitudes (adresse, habileté)
2.  qui conduit à la création d'œuvres humaines singulières, expression d'un idéal .
3. Désigne aussi ces œuvres elles-mêmes et l'ensemble des œuvres d'une époque, d'un mouvement ou d'un lieu ( grec,   océanien).

 Se caractérise par l'utilisation fréquente de matériaux à priori non artistiques.  exprimant la spontanéité, proche de l' des marginaux, des productions des enfants avant l'apprentissage des codes de représentation (Chaissac, Dubuffet).

 (Grec Kinésis, mouvement)

Mouvement  des années 70 souvent proche d'une abstraction géométrique. Il privilégie le mouvement virtuel ou rétinien (op' ou Optical ) ou le mouvement réel (animation des œuvres par moteurs ou manipulation des spectateurs). Le GRAV (Groupe de Recherche d' Visuel) regroupe des artistes comme Agam, Cruz-Diez, Soto, Vasarely, etc., tandis que Tinguely  ses machines animées par des moteurs.

 

 Courant  des années 1960 issu de l’ minimal. L'objet d’ n'est pas considéré pour sa , mais pour ce qu’il signifie; le discours devient  de la pratique (Beuys, Kosuth).

Mouvement  né en Italie dans les années 1960.
Les artistes (Anselmo, Kounellis, Merz, Penone, etc.) ont souvent recours à des matériaux d’origine naturelle (verre, bois, terre, minéraux, textile, etc.) et adoptent une  contestataire, libératrice et antimoderne avec un parti pris de dénuement.

 "Notion complexe et en  qui ne se définit pas de manière univoque" :
1. Production inscrite dans le  des arts qui exprime un  singulier chargé de sens sur le réel ou l'ego de l'artiste. Elle donne  à son rapport au monde (production ).
2. Ce qui fait entrer une conception ou un  usuel dans le  reconnu de l' et de ses pratiques ( ).

 

On considère dans les  :
  • les métiers d' (vitrail, bijoux, , etc.)
  • le  d' (architecture, décoration, décors, stands, création d'espaces provisoires ou non...)
  • le  de mode (vêtement, haute couture, costume, tenues spécialisées, accessoires : sacs, chaussures, chapeaux...)
  • le  de produit (mobilier, objets industriels...)
  • le  de communication (, pub, multimédia...)

Equivalent tridimensionnel du .
Désigne une œuvre constituée d’éléments initialement distincts souvent de natures différentes rendus solidaires (objets ou fragments d’objets, naturels ou manufacturés, formes façonnées, etc.).
Un  consiste à réunir de manière solidaire différents éléments (matériaux bruts ou d'objets de récupération) pour former un tout.
Les artistes cubistes ou dadaïstes ont popularisé ce mode de création. D'autres en ont fait le principe même de leur mode de création. Kurt Schwitters invente le terme de "Merz" pour désigner ses assemblages. Robert Rauschenberg qualifie ses assemblages de "" et Daniel Spoerri crée ses "tableaux-pièges".
Dans chacun des cas, ces assemblages très différents obéissent à une   précise.

C'est le lieu privilégié où l'artiste crée. Qu’il soit sculpteur, peintre ou graveur, il concentre généralement en ce lieu des œuvres anciennes et d'autres en devenir.

Acte consistant à reconnaître qu'une œuvre d' a été exécutée par un artiste déterminé. 

Courant artistique novateur et contestataire de presque tout le XX° siècle. Il s'affirme en rupture avec les codes établis. Premières avant-gardes apparaissent au début du XX° siècle : cubisme, fauvisme, futurisme, orphisme, rayonnisme, Dada…

C'est le premier plan d'un paysage ou d'une reproduction quelconque, c'est aussi un ou plusieurs éléments qui apparaissent avant le premier plan et qui se trouvent en partie .

 

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Traducteur


Tribune

  • Suzanne : Je me rends compte que je ne vois pas toujours où trouver tes nouvelles publications.
  • Christine : Je place la Tribune en haut de colonne pour que tu n'aies plus à chercher Suzanne. A très bientôt
  • Suzanne : Superbe présentation !Et j'aime la citation :-)
  • Christine : Merci Suzanne ! La bannière c'est le travail de ma graphiste préférée : Alice&Cetera
  • Sylviane : Coucou!Je t'invite à peut être découvrir une artiste que j'ai rencontré à Sanary dans le var. Il s'agit de Sylvie ADAOUST.es tu sensible comme moi à son style?
  • Christine : Merci Sylviane de me faire découvrir cette artiste dont j'ai visité la galerie avec beaucoup de plaisir. Qui plus est, je constate qu'elle utilise de splendides rouges, couleur que j'affectionne particulièrement . A bientôt Sylviane
  • Suzanne : Encore une superbe mise en page :-)
  • Christine : Je viens d'en changer le fond qui ne me convenait pas. C'est l'avantage de Mimbo, modulable à souhait. Merci de ton passage Suzanne
  • suzanne : Re-changement :-)
    Très réussi aussi :-)
  • Sylviane : Bonjour Christine,
    Tu n'as jamais songé à créer des cartes "mini tableau" (paysages, fleurs) pour envoyer des messages de sympathie à l'occasion d'anniversaires ou autres évènements?
    Bisous, Sylviane.

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